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Disney prolonge son patron jusqu’en 2026

Appelé à la rescousse fin 2022 pour reprendre son poste de DG occupé quelques années auparavant, Bob Iger pilotera Disney jusqu’en 2026.

Le conseil d’administration de Disney a prolongé jusqu’à fin 2026 le contrat de Bob Iger. Le dirigeant avait remplacé Bob Chapek à la fin de l’année 2022 pour reprendre le poste de directeur général qu’il avait occupé quelques années plus tôt… et relancer Disney.

Le vote a été unanime et cette prolongation vise à assurer une « continuité de gouvernance pendant la transformation du groupe menée actuellement », selon un communiqué. Elle doit aussi permettre « de mener à bien un plan de transition concernant la succession au poste de directeur général, ce qui reste une priorité pour le conseil » d’administration.

Un « travail de transformation » à achever

Bob Iger, 72 ans, a accepté en novembre 2022 de revenir à la tête du groupe pour deux ans avec l’objectif d’établir une stratégie pour « une croissance renouvelée », avait précisé Disney à l’époque. Il avait dirigé l’entreprise de 2005 à 2020 et était resté président exécutif du conseil d’administration du groupe jusqu’à fin 2021. Aucune raison n’avait été donnée au sujet du départ de Bob Chapek, qui lui avait succédé au tout début de la pandémie de Covid-19 en 2020. Il avait dû gérer la fermeture, puis la réouverture, des parcs d’attractions mais aussi l’expansion du streaming.

« Bob Iger a fait preuve à maintes reprises de sa capacité inégalée à transformer Disney avec succès vers un avenir de croissance et de retours financiers ». « Malgré les défis, je pense que l’avenir à long terme de Disney est incroyablement brillant », explique Bob Iger, cité dans le communiqué. « Mais il y a davantage à accomplir avant que ce travail de transformation ne soit achevé ».

Et d’expliquer avoir accepté de rester deux ans supplémentaires pour faire en sorte que le groupe soit « solidement positionné » lorsqu’il passera le relais. Disney doit notamment trouver la bonne formule pour imposer sa plateforme de streaming, Disney +, à l’audience en croissance continue mais aux coûts pharaoniques. Les parcs de loisirs, eux, semblent relancés. Même si la firme doit faire face à la défiance du gouvernement de Floride, où est implanté Disney World.

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