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Travailler avec des TO ou des réceptifs étrangers : comment faire son choix (partie 2)

N’ayant pas ou peu d’aides étatiques, les réceptifs étrangers interviewés, qui sont indépendants et non intégrés à des tour-opérateurs, confirment les graves difficultés qu’ils traversent depuis près de 18 mois. En attendant la reprise (2022, 2023 ?), ils n’ont d’autre choix que de « résister »… et de se réinventer en imaginant d’autres modèles de voyages.

 

Nagesh, directeur d’Incent Tours ©DR

Les réceptifs accusent le coup et font le dos rond

L’impact du Covid-19 est dévastateur, s’exclame Nagesh, directeur d’Incent Tours à New Delhi, il n’y a pas de mot assez fort. De 12 salariés, nous sommes passés à 5. Beaucoup de structures ont totalement fermé.

Le gouvernement indien ne nous soutient pas, le tourisme n’est pas une priorité. » Incent Tours travaille sur les cibles individuels et Mice, avec 1 000 à 1 200 clients français par an. « Nous avons remboursé 80 % de nos partenaires », assure-t-il. Il entrevoit une reprise à l’automne 2022.

Sébastien Cros, directeur de Across Australia basé à Adelaïde en ce moment, parle du 16 mars 2020, date de l’annonce du premier confinement en France, comme d’une « guerre atomique ».

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