HURTIGRUTEN LIMITE LA CASSE
La dynamique de croissance qu’enregistrait Hurtigruten sur le marché français au début de l’année n’aura pas survécu à l’éruption du volcan islandais. Durant les semaines qui ont suivi la crise, les prises de commande ont quasiment stoppé, alors que « la saison été se joue au moment des réservations de mars, avril et mai », explique Christine Bois, directrice d’Hurtigruten France. L’année ne sera toutefois « pas catastrophique », assure-
La dynamique de croissance qu’enregistrait Hurtigruten sur le marché français au début de l’année n’aura pas survécu à l’éruption du volcan islandais. Durant les semaines qui ont suivi la crise, les prises de commande ont quasiment stoppé, alors que « la saison été se joue au moment des réservations de mars, avril et mai », explique Christine Bois, directrice d’Hurtigruten France. L’année ne sera toutefois « pas catastrophique », assure-t-elle, espérant atteindre 7 000 passagers, contre 7 500 en 2009 (et un chiffre d’affaires de 11,5 ME, contre 12,3 ME). Pour se mettre à l’abri de nouvelles déconvenues et pour coller à la logique de groupe, la filiale française, qui a sorti ses deux brochures 2011), veut pousser davantage les early-bookings afin d’engranger un maximum de chiffre d’affaires avant le 31 décembre. Des réductions de 15 % à 20 % sont octroyées pour ces réservations anticipées. Les prises de commande pour les voyages en Norvège sont en hausse de 10 % à 15 % par rapport à l’an dernier.
Hurtigruten France espère atteindre 7000 passagers en 2010,contre 7 500 l’an dernier