Le Qatar n’investit pas que dans le PSG. Le royaume, qui dégage plus de 50 milliards de dollars d’excédents par an grâce à la vente d’hydrocarbures, multiplie les projets dans le secteur du tourisme. L’État, qui dispose de plusieurs fonds d’investissements, avec des relais dans des paradis fiscaux comme le Luxembourg ou la Suisse, n’est pas un modèle de transparence. Mais on peut lister quelques investissements majeurs. En France, d’abord, l’Émirat a acheté plusieurs hôtels de luxe. Mais c’est le Maghreb – Tunisie, Maroc ou Égypte – qui concentre les projets pharaoniques.