[Tribune de Julien Buot] La reprise en mode durable et l’incontournable réponse à l’urgence climatique
Transformation pour les uns, respiration pour les autres, actions réfléchies ou encore cellules d’écoutes psychologiques, les réseaux multiplient les initiatives pour soutenir les professionnels du tourisme et les aider à faire le dos rond en attendant la reprise. Cette parenthèse désenchantée nous a-t-elle permis de penser, produire et vendre autrement nos voyages ? Au-delà de la simple tentation du local, que j’avais remise en perspective lors du premier confinement, il s’agit de rappeler le diagnostic du Giec pour mieux se projeter, cinq ans après l’accord de Paris !
Un peu plus d’un an nous sépare de l’annonce du premier mort du coronavirus en France. Nous ne nous doutions pas encore de l’ampleur de la pandémie et de ses multiples conséquences sur l’économie mondiale et nos sociétés en général, mais aussi sur le tourisme en particulier.
Mais nous savions déjà que nous avions à relever un défi particulièrement difficile, celui de réduire les émissions de CO2 liées aux activités humaines pour limiter l’acidification des océans et l’augmentation de la température moyenne sur Terre.
Comme le disait Rémy Fouraste, directeur qualité de La Balaguère, entreprise co fondatrice d’ATR en 2004, il s’agit « simplement » de ne pas scier la branche que laquelle nous sommes assis.
veuillez vous identifier avec votre compte si vous avez déjà un abonnement
à L’Echo Touristique OU abonnez-vous
