L’édito de Dominique Gobert : EdV, la question qui tue…

Rien que le nom du Congrès, Rev 23 laisse songeur. Que rêver de plus, effectivement pour cette profession, que de se remettre désormais en ordre de marche en non seulement rêvant mais surtout en retrouvant une croissance quelque peu égratignée depuis quelques années.

Un congrès qui promet d’être « dense » comme le dit président Mas et qui devrait permettre à chaque participant de repartir de cette île l’esprit clair et combatif.

Bien évidemment, malgré la volonté des organisateurs de ne pas « polluer » cette manifestation par l’éternelle question de savoir qui succèdera à Jean-Pierre Mas, les supputations vont bon train.

Evidemment, tout le monde émet la possibilité d’une candidature de Valérie Boned, actuelle secrétaire générale du syndicat. Une efficacité redoutable de la part de ce petit bout de femme (amicalement, chère Valérie), toujours sur tous les fronts et qui ne lâche jamais rien. Elle connaît tous les rouages du syndicat, de la profession et sait comment parler non seulement aux politiques mais également aux organisations syndicales de salariés.

Elle ferait une excellente présidente, comme nous l’affirmions déjà lors des résultats de notre sondage sur les prochaines élections.

Seulement voilà, je crains que ce ne soit pas possible. Valérie, malgré ses compétences indéniables ne peut, statutairement, briguer la présidence des EdV. Vous me direz, que, les statuts se changent…

Et puis, a-t-elle envie du poste ? Je ne crois pas. En revanche, en tandem avec une « pointure » de la profession, pourquoi pas ?

A l’heure où j’écris, face à l’océan chatoyant, quelques rumeurs se répandent. Selon le sondage que nous avions publié récemment, le patron d’Asia, Mister Linton arrivait en tête. Je n’y crois pas, dans la mesure où cet homme de bien est quand même très occupé à la direction de sa société. A moins bien sûr, qu’il envisage de la céder à un grand groupe ? Sait-on jamais.

Lionel Rabiet, membre très actif du syndicat et qui, pour le moment, ne s’est pas dévoilé, même si parfois, en se rasant le matin…

J’avoue ne pas trop y croire, mais parfois, lors des élections, il y a souvent des surprises !

Une chose est sûre cependant (tiens, j’écris de plus en plus correct, étrange), le ou la nouvelle présidente aura fort à faire dans la défense du voyage en aéroplane.

Comme je le soulignais en préambule, le sieur Jancovici ne renonce à rien : pas plus de 4 voyages en aéroplane par personne et pour la vie ! Pour le reste, faut voyager en train ou alors en bateau, ce qui ne manquera pas de réjouir mon belge favori qui se reconnaîtra aisément…

Pour ma part, je ne savais pas que les voyages en navire à moteur n’émettaient pas de carbone.

Je m’aurais trompé ?