La Croatie, un super cocktail entre culture et farniente !
« Virginie Cadiou, conseiller voyages à l’agence Fram Voyages, rue Perrault à Paris, a découvert la Croatie grâce à un éductour « maison ». »
Cette escapade en Croatie était mon premier éductour. Il est vrai que je travaille dans le tourisme depuis 8 mois seulement ! Dès l’arrivée, j’ai été séduite par le paysage maritime et montagneux qu’offre le pays. Organisé en interne pour les collaborateurs Fram, ce séjour m’a permis de vivre grandeur nature certaines excursions du forfait Découverte, proposé en brochure par le TO.
La première, incontour-nable, nous a menés à la citadelle de Dubrovnik. La ville historique est plus petite que je ne l’avais imaginée, mais quelle richesse ! Dans le cloître et dans les églises, j’ai pu admirer des icônes, des tapisseries, des bijoux et des tableaux, dont un Titien. Un vrai cours d’histoire de l’art. La balade le long de Placa, la rue qui traverse la citadelle, et dans les ruelles pentues, est aussi très agréable, d’autant que l’on rencontre beaucoup de Croates francophones.
La soirée campagnarde, succès garanti !
Pour la soirée campagnarde, organisée dans une ferme, nous avons gagné l’arrière-pays. Avant de passer à table, nous avons dégusté un apéritif local, accompagné de lard grillé dans les flammes d’un feu de camp. Au cours du repas, des musiciens ont joué autour des tables. C’était un bon moment et je crois que la présence du groupe Fram a rendu l’ambiance plus chaleureuse que d’habitude. Ce programme est proposé depuis plusieurs années et je comprends son succès. L’excursion du lendemain matin à Cilipi, à 20 kilomètres de Dubrovnik, m’a semblé moins convaincante. On peut assister à la messe et faire le tour du marché. Les échoppes sont peu nomb- reuses et proposent les mêmes objets artisanaux. Le spec-tacle folklorique était agréable, mais sans plus.
Un bord de mer aménagé dans les rochers
Bien sûr, on ne peut pas parler de la Croatie sans évoquer la guerre. Malgré de gros efforts de reconstruction, notamment dans la citadelle de Dubrovnik, des traces restent visibles sur certaines façades. Je trouve néanmoins que le pays s’est vite relevé et remis au tourisme. Même si personne n’a oublié la guerre, les gens sont tournés vers l’avenir. J’ai trouvé cela touchant et positif.
L’hôtel Astarea 3b où nous logions, à une dizaine de kilomètres de Dubrovnik, est un peu perdu au milieu de NULLe part, mais il suffit de descendre en bord de mer pour faire une jolie promenade. Le Neptune, plus proche du centre historique quoique très isolé, offre davantage de confort. Son bord de mer est agréablement aménagé dans les rochers. J’en profite pour dire que, si l’eau est d’une limpidité impeccable, les plages ne sont pas idéales pour la baignade. C’est rocaille ou galet, mais rarement sable fin. Heureusement, on trouve de grandes piscines dans les hôtels. Lors de notre passage, nous avons aussi constaté que le Dubrovnik Palace, qui ouvrira ses portes bientôt, n’était pas achevé. Il sera sûrement agréable à vivre, avec ses larges baies ouvertes sur l’horizon et ses chambres orientées vers la mer.
Soleil, culture et évasion… Je comprends mieux le succès remporté par la Croatie. C’est un super cocktail, en séjour avec excursions, en autotour ou lors d’un circuit bien rythmé et pas trop chargé. Dubrovnik est aussi la ville idéale pour un week-end en amoureux. Dans tous les cas, les TO peuvent compter sur Gulliver, un super réceptif.
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