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Cap Australie : épilogue en A380

Les deux semaines d’éductour organisé par Australie Tours (1) s’achèvent pour les douze participants de Cap Australie. Retour en Europe avec Qantas à bord du nouveau géant des airs, l’A380.

 

Du bush et des prairies, de la savane et des forêts, des terres sauvages et des buildings ultramodernes : l’Australie s’est offerte dans toute sa diversité aux douze participants de Cap Australie. « Le voyage a été exceptionnel. Une véritable aventure humaine », confient Maryline Pascal de Touriscar Voyages (Annemasse) et Laurence Quenoy d’Objectif Lune (Nancy). « Le contraste entre le bush et des villes comme Darwin, Cairns et surtout Sydney est à la fois fascinant et attachant », expliquent Aude Aussedat des Galeries Lafayette Voyages (Annecy) et Gaëlle Le Corre d’Un Monde à Deux (Paris). « Ce fut un dépaysement total », ajoutent Céline Jolly de Carlson Wagonlit Voyages (Amiens) et Cornélia Paris de Voyages Paris Normandie (Elbeuf).

Les images de sites « majestueux », « insolites et magiques », « hors du commun et du temps », défilent encore dans les yeux des agents de voyages pendant les vingt-quatre heures de vol qui séparent Sydney de Paris via Londres : terres ocre et routes sans fin, immense savane, ranch perdu dans l’outback, sites sacrés aborigènes, îlots de sable et de corail, forêts tropicales luxuriantes, … « L’accueil des gens a également été remarquable », précise Isabelle Marcant du Pays des Voyages (Allauch). « En particulier à Bullo river station dans le Northern Territory ou encore au Camp Davidson à Arnhem Land ». Les nombreuses anecdotes reviennent dans les esprits comme « ces kangourous  qui semblaient suivre les 4X4 dans le bush » ou cette « rencontre avec un énorme mérou » au milieu des poissons multicolores de la Grande barrière de corail.

L’obscurité qui envahit l’avion pour les treize heures de vol entre Singapour et Londres est propice au sommeil. Tous les souvenirs qui ont parsemé ces deux semaines d’éductour hors norme au pays des kangourous s’envolent dans la nuit étoilée, bercés par le ronronnement de l’A380.  

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