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Sur un air de salsa à Cuba, la Isla Grande

Isabelle Falgueyrettes est responsable des groupes et chef d’agence chez Equipages/Afat Voyages à Montpellier. Elle a succombé aux charmes de Cuba lors d’un éductour en octobre.

Quand j’ai su que j’allais partir à Cuba dans le cadre d’un éduc-tour organisé par Havanatour, j’ai été enchantée car je rêvais de découvrir ce pays. Je n’ai pas été déçue ! Impossible de ne pas succomber aux charmes de cette île dont l’ambiance si particulière vous hypnotise dès la sortie de l’avion. Et quel patrimoine historique, quelle richesse… Ces huit jours ont été un vrai régal. D’autant que j’avais beaucoup de préjugés sur la destination. Je n’imaginais pas notamment trouver une hôtellerie de si bonne qualité. Je n’avais qu’une référence, le Nacional à La Havane, et quelques hôtels à Varadero. Or tous les établissements que nous avons visités sont de très bon niveau, très bien entretenus avec un accueil partout sympathique. J’ai apprécié tout particulièrement les hôtels de charme de la vieille Havane où les rénovations vont bon train, comme le Park View 3b, le Tejadillo, le Santa Isabel, le Raquel… Mon coup de coeur : le Palacio O’Farrill, avec son superbe patio. Notre petit groupe était logé au Tryp Habana Libre. Avec ses 574 chambres, il est moins intime mais il abrite une très belle piscine et surtout la meilleure discothèque de la ville, au 26e étage. Elle accueille tous les soirs un groupe cubain renommé. Salsa endiablée assurée !

La joie de vivre des Cubains

Le lendemain, nous avons mis le cap sur Cayo Levisa, au nord-ouest de l’île, en passant par la province si verte de Pinar del Rio. Notre guide Rosario a profité du trajet, dans un autocar très confortable, pour nous raconter son île, les difficultés économiques de ses habitants, leur débrouillardise légendaire et leur joie de vivre malgré les privations. Ce n’est pourtant jamais pesant pour nous, touristes. La bonne humeur des Cubains l’emporte toujours même si on les voit attendre des heures au bord des routes pour trouver un moyen de transport. Et il faut rassurer les clients qui partent dans le cadre d’un autotour : il n’y a aucun problème d’approvisionnement en essence, avec une pompe tous les 150 km sur la seule autoroute de l’île. On atteint Palma Rubia où se trouve l’embarcadère pour Cayo Levisa en deux heures et demi. Cet îlot corallien est réputé pour ses plages de sable blanc et la richesse de sa faune marine. Une demi-heure de traversée et nous voilà Robinson, hébergés dans l’un des 40 cabanons spacieux de l’hôtel Villa Levisa, une exclusivité d’Havanatour. A conseiller aux amateurs de farniente et aux plongeurs en herbe.

Adorable Cienfuegos

Notre périple s’est poursuivi avec la découverte de l’adorable petite ville de Cienfuegos, et surtout de Trinidad, si pittoresque avec ses ruelles pavées et ses maisons aux façades pastel. L’hôtel Las Cuevas, le seul au coeur de la ville, est une bonne adresse sauf pour la nourriture, de toute façon assez banale à Cuba. Il faut aussi faire une halte à la Trova ou à la Casa de la Mùsica, où se produisent d’excellents groupes. Authenticité assurée avant de rejoindre Varadero. La station balnéaire cubaine est idéale pour prendre quelques jours de repos ensoleillé après un circuit. La plage y est peut-être un peu moins belle qu’à Punta Cana, en République dominicaine, mais c’est parfait dans le cadre d’un séjour combiné. Et les hôtels y sont excellents, avec une dédicace toute particulière au superbe Paradisus Varadero 5b. Je n’ai plus qu’une hâte, retourner au plus vite sur la Isla Grande. Alors, hasta la vista Cuba !

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