Les cabarets parisiens à la peine
Selon le journal le Parisien, les cabarets souffrent de la crise et s’adaptent en conséquence.
Le journal Le Parisien constate les dégâts de la crise dans le monde du Paris by night. Bobin’O va ainsi fermer pour cinq mois, tandis que le Paradis Latin supprime des soirées et que le Lido brade ses entrées, constate le journal. La crise commence à se faire sentir. Les sociétés dépensent moins et hésitent avant de réserver, déclare Bobin’O au quotidien, qui pointe les économies des entreprises sur les relations publiques, les annulations massives des tour-opérateurs et celles des particuliers. Seul le Moulin-Rouge semble tirer son épingle du jeu. Mais sans visibilité pour les mois à venir.