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Le secteur du loisir à l’ère des données

Pourquoi Convious recommande aux parcs d’attractions de monter dans le train de l’industrie 4.0

Entre manèges à l’ancienne, trains vapeur, montagnes russes vintage et autres attractions utilisant la puissance mécanique, de nombreux parcs à thèmes sont le fruit de la révolution industrielle. D’ailleurs, les visiteurs adorent ces attractions traditionnelles empreints d’une certaine nostalgie.

Pour ce qui est de leur fonctionnement (billetterie, réservation, sites Internet au format mobile, statistiques, etc.), de nombreux parcs se sont arrêtés à la troisième révolution industrielle : celle de l’informatique. Or cela peut poser problème à la fois pour les lieux de loisir et leurs visiteurs.

Avec sa plateforme digitale complète, pensée spécialement pour les parcs d’attractions et autres lieux de loisir, Convious s’est fixé pour mission d’exploiter pleinement la révolution 4.0. En plus de son siège situé à Amsterdam, l’entreprise propose ses services dans toute l’Europe depuis ses bureaux en Lituanie, en France et au Royaume-Uni.

« Tous nos processus reposent sur les données, » explique Adriaan Van der Hek, Directeur des Opérations au sein de Convious. En effet, Convious recueille des données, les traite et en tire des conclusions concrètes, ce qui lui permet d’automatiser des tâches habituellement manuelles. Ainsi, les lieux de loisir obtiennent de meilleurs résultats, tout en générant une expérience plus agréable à la fois pour les visiteurs et pour leurs équipes. Adriaan Van der Hek le confirme : « Nous parvenons à éliminer une bonne part de frustration. »

Adriaan Van der Hek, Directeur des Opérations au sein de Convious (Image avec l’aimable autorisation de Convious)

Comme le reconnaît volontiers le Directeur des Opérations, les lieux de loisir rechignent souvent à manipuler des données. Pourtant, lorsqu’il s’agit de produire des statistiques ou tout simplement de faire le point sur leur fréquentation, ils se rendent à l’évidence : les données sont importantes… et malheureusement, ils ne savent pas les apprivoiser.

Les parcs d’attractions collectent souvent des données à différents niveaux, sur des systèmes qui ne sont pas intégrés les uns avec les autres. Citons par exemple les ventes sur place (billetterie, restauration et rafraîchissements, produits dérivés et stationnement) et les ventes en ligne. S’y ajoute le contrôle des billets à l’entrée, sans oublier des systèmes extérieurs, comme les annonces Google, les billetteries tierces, TripAdvisor et consorts, ou encore les avis sur Facebook et Google Maps. Lorsque tous ces systèmes ne sont pas reliés entre eux, l’obtention de statistiques, le contrôle des inventaires, la réservation et d’autres fonctions peuvent virer au casse-tête.

Les lieux de loisir stockent généralement leurs données sur des serveurs internes qui sont exposés à toutes sortes de problèmes, comme la sécurité, la maintenance, les soucis de performance et les interruptions de service. À l’ère de la révolution 4.0, l’une des priorités est de laisser de côté le matériel informatique pour passer au tout-cloud.

À ce sujet, Adriaan Van der Hek précise : « Les technologies dans le cloud sont épatantes. Elles sont à la fois plus stables, plus modulables, plus souples, plus sécurisées, plus efficaces et moins coûteuses. »

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