Retrouvez l'actualité du Tourisme pour les professionnels du secteur tourisme avec l'Echo Touristique : agences de voyages, GDS, prestataires spécialisés, voyagistes

Belle Ile-en-Mer Tout simplement

Belle Ile, tout est dit ou presque dans son nom. On l’aime pour la beauté de sa côte sauvage, de ses criques et plages, le charme de ses villages, et la chaleur de ses habitants. Ar Gerveur, comme l’appellent les Bretons, est la plus grande des îles bretonnes, 20 km sur 9. Elle est surtout loin d’être la plus plate. En faire le tour à vélo relève de l’exploit sportif, tant ses côtes et faux plats sont difficiles. Selon la légende, trois

Belle Ile, tout est dit ou presque dans son nom. On l’aime pour la beauté de sa côte sauvage, de ses criques et plages, le charme de ses villages, et la chaleur de ses habitants. Ar Gerveur, comme l’appellent les Bretons, est la plus grande des îles bretonnes, 20 km sur 9. Elle est surtout loin d’être la plus plate. En faire le tour à vélo relève de l’exploit sportif, tant ses côtes et faux plats sont difficiles. Selon la légende, trois fées, chassées de la forêt de Brocéliande, auraient jeté leurs colliers de fleurs dans la mer. L’un donna naissance à Belle Ile, les deux autres à Houat et Hoëdic. Le charme agit dès l’arrivée au Palais, la ville principale dominée de son impressionnante forteresse Vauban. Des enceintes, la vue est à-pic sur les maisons du port, serrées les unes contre les autres au-dessus des bassins. A l’horizon se dessinent les contours de la presqu’île de Quiberon. Mais le plus joli port de l’île est sans conteste Sauzon, avec son décor de carte postale : son phare, ses barques de pêche, son quai animé où s’entassent drapeaux, casiers et filets, ses restaurants où l’on déguste en terrasse les pouces-pieds, crustacés fameux, sans oublier bien sûr ses petites maisons colorées. Blanches, jaunes, roses ou bleues, le contraste est d’autant plus saisissant qu’elles ont été ripolinées de neuf l’an dernier pour les besoins de Dolmen, la série télé à succès. Mais vite, il faut repartir pour ne pas manquer le coucher de soleil sur les aiguilles de Port Coton. La mer, légèrement agitée, déferle entre ces rochers élancés. Le spectacle est magique. On comprend pourquoi il inspira, à l’infini, le peintre impressionniste Claude Monet…

%%HORSTEXTE:1%%

Laisser votre commentaire (qui sera publié après moderation)

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Dans la même rubrique