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Une île par jour aux Caraïbes

Grands paquebots ou petites unités de luxe, départs de ports français, produits francophones, sans compter la découverte d’îles paradisiaques… autant d’ingrédients qui expliquent le succès de plus en plus grandissant des croisières dans les Caraïbes.

La saison des croisières aux Caraïbes débute dans quelques semaines. Avec d’importantes nouveautés : d’abord, le positionnement à Pointe-à-Pitre du Costa Atlantica, un géant de 2 100 passagers, qui remplace le Costa Romantica. Ensuite, l’arrivée de voyagistes espagnols offensifs, comme Transtours et Pullmantur, qui jouent la carte prix avec une formule tout compris.

Enfin, Easycruise fera ses premières armes aux Caraïbes, offrant aux passagers français la possibilité d’embarquer à Fort-de-France avec une stratégie low cost. A cela s’ajoute un marché de niche, grâce au positionnement de petites unités haut de gamme, comme le Club Med 2, Le Levant ou encore les voiliers Star Clippers…

De quoi attirer aux Caraïbes une nouvelle clientèle, plus jeune qu’en Méditerranée ou en Europe du Nord, et qui devrait être séduite par le côté balnéaire et festif de la destination. 60 % de nos passagers aux Antilles embarquent pour la première fois, assure ainsi Georges Azouze, directeur général de Costa Croisières, qui a fait voyager 200 000 passagers en 10 ans avec sa croisière 7 jours/7 îles. Pour séduire nouveaux et anciens clients, les bateaux alternent désormais deux parcours durant toute la saison, permettant de commercialiser un itinéraire très complet de 15 jours.

Avantage indéniable : la possibilité de naviguer depuis Fort-de-France et Pointe-à- Pitre avec une carte d’identité (à la différence des départs de Floride qui nécessitent un passeport à lecture optique). Tout comme la francisation du produit qui est poussée, à l’image de Costa qui accueille plusieurs centaines de Français à chaque départ. Les disponibilités aériennes depuis Paris demeurent les seules contraintes. Un souci que les agences de voyages antillaises ne connaissent pas, elles qui font embarquer toujours plus nombreux leurs compatriotes, désireux de découvrir les paquebots qu’ils regardent passer chaque hiver depuis des années…

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