Frissons sans risques

Un Boeing, du bout des doigts

La cabine de pilotage reproduit, au détail près, le poste de travail d’un équipage sur Boeing 777. On est à bord d’un long-courrier, accompagné par un commandant de bord professionnel. Des écrans à 220 degrés offrent une vision panoramique sur le taxiway, la piste, l’envol… Puis une heure plus tard, l’approche à 250 noeuds, l’atterrissage. Orages, pannes, il faut aussi gérer des imprévus. C’est grisant !

Adrénaline en Formule 1

Piloter une voiture de rallye, un prototype endurance ou une Formule 1 ? Un exercice banal pour un adepte des jeux vidéo. Les simulateurs peuvent mieux faire ! Pour se distinguer des courses sur l’ordinateur à la maison, les Lyonnais d’I-Way ont créé un centre de conduite où le pilote revêt sa combinaison, s’installe dans une vraie voiture, écrase la pédale d’accélérateur dans des décors délirants. Un grand prix sur la Lune ? Pas de problème… Freinages, dérives, accélérations, l’environnement est impressionnant avec de vraies carrosseries posées sur des vérins. Ca saute, ça secoue !

Icare en chute libre

2 minutes 30 de chute libre, accompagné par un parachutiste professionnel, sans sauter d’un avion. C’est possible, en banlieue parisienne ! Une soufflerie à 200 km/h simule la portance du vent. Le corps est cambré, en « position de la banane », les membres souples, l’équilibre vient naturellement. Certains, très doués, réalisent des figures ou des loopings ! Le vol est trois fois plus long qu’en conditions réelles : sous un avion à 4 000 mètres, pour un parachutiste, le temps en chute libre dépasse rarement 50 secondes.

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