Etapes gourmandes, de pâtisseries en chocolats
Pour donner de la saveur au culturel, du goût à l’aventure, de l’appétit aux randonneurs, rien de mieux que quelques haltes gourmandes pour les régaler de douceurs sucrées.
New York : croquer la grosse pomme
La grosse pomme est un creuset des gourmandises du monde entier. à côté des enseignes de malbouffe et des brownies, donuts et autres cookies, les meilleurs pâtissiers français, italiens, allemands, hongrois, autrichiens, russes, orientaux ont ouvert des boutiques excentriques, audacieuses, extravagantes à dénicher au hasard des rues de Manhattan et de Brooklyn. Elles portent des noms français (Financier, Friandises, Petit Prince), américains (Little Pie company of the Big Apple) ou hispanisante (Nueva Bakery)…
Chez Vacances Transat, Kuoni, Jetset, Thomas Cook, Jet tours, Vacances fabuleuses, Boomerang…
Moscou : le chocolat de Pouchkine
« Elle avait un joli nom mon guide, Nathalie… Je pensais déjà qu’après le tombeau de Lénine, on irait au café Pouchkine, boire un chocolat. » Quand Gilbert Bécaud chantait cette rengaine dans les années 1960, le café Pouchkine n’existait pas. La demande des Français est devenue si pressante qu’un homme d’affaires russe, en a créé un, en 1999, à proximité de la Place Rouge. La déco fin xixe est très réussie et le chocolat noir épais extraordinaire. à tel point que ce restaurant, où cuisine et pâtisseries sont excellentes, est devenu le rendez-vous branché des nouveaux riches russes… et des touristes français.
Chez Marsans, Inexco, Amslav, Jet tours…
Vienne : avaler un strudel aux pommes
Il n’y a pas que le beau Danube, Strauss ou Mozart dans la capitale autrichienne. Il y a aussi le strudel aux pommes. Ce monument de la pâtisserie se déguste de préférence chez Demel ou Sacher, deux institutions aussi historiques que Sissi l’impératrice, garantissant, avant ou après concert, des calories pour le grand bal. Les cafés viennois sont des lieux d’artistes et d’intellectuels… amateurs de Wiener Kaffee (mélange de café et de chocolat) accompagné de Sachertorte (tarte à la confiture d’abricots enrobée de chocolat) ou de Schwarzwalderkirschtorte (forêt noire aux cerises)…
Chez AustroPauli, Donatello, Top of Travel, Marsans, Destination Europe, Boomerang, TransEurope…
Istanbul : dévorer des loukoums
Tous les quartiers d’Istanbul regorgent de confiseurs et de pâtissiers, parfois ouverts jusqu’à 23 h. Difficile de résister aux baklavas, reines de l’Europe orientale, à la finesse des loukoums et aux confitures traditionnelles aux pétales de roses ou encore à la pâte d’amande ou de sésame (helva). Sans oublier les profiteroles inventées là. La ville est une caverne d’Ali Baba de gourmandises qui donne le tournis. Pas besoin de traduire, il suffit de lire : kek, milföy, bisküvi, brios, tartölet, madlen, krem santili, krep süzet, profitrol, tart et gato.
Chez Marmara, Pacha tours, Go voyages, Fram…
Bruxelles : se gaver de pralines aussi
La capitale de l’Europe est aussi la capitale du chocolat. Les dieux aztèques se sont installés dans les vieilles pierres qui se donnent des airs de dame tartine autour du Manekenpis ou de la Grand-Place (où il y a un musée du cacao et du chocolat !). Entre les estaminets et les terrasses de brasseries, les boutiques très chics des praliniers, chocolatiers et pâtissiers aux noms sublimes (Marcolini, Neuhaus, Wittamer, Godiva, Leonidas,…) ont partout pignon sur rue. Non seulement ces boutiques d’art débordent de produits beaux et succulents, mais les vendeurs n’hésitent pas à sortir dans la rue un plateau à la main, histoire de faire craquer les passants.
Chez Visit Europe, TransEurope, Go Voyages, Ailleurs, Jettours…
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