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SANTA BARBARA, MISSION IMPASSIBLE

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Santa Monica, Santa Barbara, Maria de los Angeles… le nom des villes côtières trahit l’ordre de leur découverte : le saint du jour de l’accostage, selon le calendrier espagnol du XVIIe. L’ancien colon a légué la mission jésuite (à visiter absolument) et le presidio, centre bureaucratique que ne protège plus qu’une chapelle peinte. En 1930, les gringos ont ajouté un palais de justice, aux murs d’azulejos et aux plafonds copiés sur l’Alhambra. Gardant le style, on a multiplié les arcades commerciales – nommées paseos -, des jardins de cactus et des maisons blanches. Dans cet ensemble, on peut chiner du vintage ou aller au cinéma dans une immense salle bordée de fausses maisons mexicaines. Mais ce côté ville bute vite sur la montagne fauve. Santa Barbara a du s’étendre côté mer, plantant les pilotis du Stearn’s wharf, plus vieil embarcadère de la côte ouest, ou ces pontons que quittent les voiliers immaculés, pour longer une bouée squattée par les phoques et cingler vers les quatre îles du Channel.

Prolongez avec l’arrière-pays : Santa Barbara est une région de vignes, où pousse une flopée de cépages (le mode de classement américain) : riesling, syrah, pinot et le roi chardonnay… À découvrir dans les wineries et les chais de la vallée de Santa Ynez.

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