Galileo met son portail sur orbite
Avec cette nouveauté, le GDS réalise son plus important développement dans l’Hexagone en termes de produit.
Travelport, maison mère de Galileo, brillera par son absence au prochain salon Top Resa. L’énergie et les budgets de la filiale française du groupe sont ailleurs. L’équipe de Jérôme Moisan, directeur général de Galileo, est en effet au charbon pour fignoler ce qu’elle considère comme sa meilleure pépite depuis cinq ans : un nouveau portail professionnel pour les agences.
Le point d’entrée pour 1 300 agences
Ce site se veut un sésame aux outils de réservations de Galileo. Il agrège le GDS, la plateforme loisirs OpenLink et Galileo Leisure (Octopus Travel). Une rubrique sera dédiée aux différents outils de communication, une autre à des outils d’aide en ligne : recherche par mot-clé, formation en ligne, stages de formation (calendrier et inscriptions)… Ce sera donc LE point d’entrée pour les quelque 1 300 agences qui utilisent Galileo, mais aussi leur forum si elles le souhaitent.
En test sur le marché hexagonal, ce portail baptisé Galileo Hub est la version française d’une solution déjà en place en Italie. Coût de son adaptation aux spécificités tricolores : un million de dollars. Son déploiement en France est prévu au dernier trimestre 2007. Il sera bien sûr possible d’y effectuer des réservations classiques, mais Jérôme Moisan voit plus loin. Nous devons répondre à un besoin non satisfait. Aucun GDS ne peut à ce jour proposer un choix de destinations à un client disposant d’un budget maximal. Nous y travaillons, pour la version 2.
