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Tous responsables !

« « […] Pour estomper la malédiction du tourisme de masse, qui, en place du sentiment cultive et développe le ressentiment, l’une des réponses se trouve dans le désir réel de voyager et de découvrir. Que l’on ne parte plus ailleurs du fait d’une offre promotionnelle ou pour satisfaire à une mode, mais parce qu’on a rêvé de connaître cette destination et éprouvé en soi la nécessité de s’y rendre. Le touriste responsable est celui

« […] Pour estomper la malédiction du tourisme de masse, qui, en place du sentiment cultive et développe le ressentiment, l’une des réponses se trouve dans le désir réel de voyager et de découvrir. Que l’on ne parte plus ailleurs du fait d’une offre promotionnelle ou pour satisfaire à une mode, mais parce qu’on a rêvé de connaître cette destination et éprouvé en soi la nécessité de s’y rendre. Le touriste responsable est celui qui sait répondre à la question du choix de sa destination. »

Émeric Fisset, éditeur de Transboréal, écrivain, aventurier du Grand Nord, intervenant du 2e Forum de Grenoble organisé par Libération dans le cadre du débat « Le tourisme de masse : une malédiction pour le Sud ? »

Touristes de tous les pays…

« […] Qui peut prétendre qu’un client d’un hôtel-club au Maroc aurait un comportement moins respectueux des populations locales qu’un routard sac à dos ? Ne confondons pas les différentes formes de tourisme, toutes légitimes, et l’utilité sociale de chacune d’entre elles. »

Jean-François Rial, PDG de Voyageurs du Monde, intervenant du 2e Forum de Grenoble organisé par Libération dans le cadre du débat Le tourisme de masse : une malédiction pour le Sud ?

L’énigme de la semaine

« La billetterie est à l’agence de voyages ce que la délégation de service public est à l’autocariste. »

Michel Salaün, Salaün Holidays

« Top Resa, c’était jusqu’alors comme une croisière en bateau : on partait pour une échappée de trois ou quatre jours. On se croisait sur les ponts, dans les ports et les restaurants. Désormais, l’ambiance n’est plus vraiment là. Il s’agit d’un vrai salon professionnel, ce qui est conforme à son objectif. Il faut aller jusqu’au bout de la logique des organisateurs. Il serait bon de prévoir un système de rendez-vous avec confirmation par e-mail ou SMS. »

Frédéric Vanhoutte, président de l’association Level, et DG de Selectour.com

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