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Les Bulles de Sologne s’exportent au Canada et en Polynésie

Le concept d’éco-resort de bulles, déjà installé dans plusieurs régions françaises, s’installe au Québec, en Polynésie et en Occitanie.

Le concept d’éco-resort de bulles et dômes géodésiques des Bulles de Sologne, déjà implanté en Sologne, en Corse, en Haute-Marne, en Vendée et dans le Jura, poursuit son expansion. En effet, trois nouveaux sites vont ouvrir leurs portes en Occitanie, en Polynésie française et au Québec. Avec, à chaque fois, sa méthode pensée « par un hébergeur au service des hébergeurs », selon un communiqué.

En effet, les Bulles de Sologne qui opèrent, depuis 5 ans, huit hébergements insolites, proposent aux hôteliers, restaurateurs, gestionnaires de camping… un projet clé en main. Une offre qui allie la fabrication sur mesure d’hébergements légers et insolites ainsi qu’une assistance au lancement pour les opérateurs.

Un marché en pleine expansion en France comme à l’international

Les hébergements proposés par les Bulles de Sologne couvrent les besoins d’hébergements de 12 à 80m², mais aussi d’espaces événementiels de grande taille (de 100 à 500m²). Et l’entreprise va aller plus loin. En effet, elle vient d’être désignée agent exclusif de Shelter Structures pour la France. Leader mondial des structures d’accueil éphémères, l’accès à son catalogue va permettre d’élargir l’offre et de s’ouvrir aux restaurants, aux événements (chapiteaux de mariage, d’exposition) et aux campings (safari, pagode…).

Les Bulles de Sologne surfent sur l’explosion du marché national et international de l’hébergement insolite ces dernières années. En France, plus de 6 000 hébergements du genre sont recensés, sur environ 1 600 sites. Soit plus de 22 000 lits sont sur le marché.

« Cette progression est due aux changements d’habitudes des touristes, suite au Covid, qui sont maintenant à la recherche d’hébergements en harmonie avec la nature ou du « slow tourisme », hors des grandes structures classiques et plus proches de leur domicile (à moins de 250km en moyenne) », selon le communiqué.

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