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La Libye, un premier éductour enchanteur !

Elodie Cavigioli, 22 ans, travaille chez LTM Itinérances à Paris comme Junior Project manager. Ce voyage en Libye lui laisse un souvenir inoubliable.

La Libye comme premier éductour : vraiment, j’ai eu beaucoup de chance ! un voyage enchanteur, organisé par les hôtels Corinthia et le réceptif Magic Libya, même si le beau temps n’était pas franchement de la partie ! Nous avons volé sur Afriqiyah Airways, une compagnie régulière que je ne connaissais pas (son actionnaire principal est l’Etat libyen) et qui relie Paris à Tripoli cinq fois par semaine en B-737 tout à fait pimpant. A l’aéroport de Tripoli, nous avons eu un accueil fleuri, sous un tableau à l’effigie du colonel Kadhafi, omniprésent. Tripoli est une belle ville, qui a su préserver son patrimoine historique, notamment ses façades italiennes. Magic Libya a été très efficace, en mettant à notre disposition deux excellents guides totalement francophones, Abdullah et Bachir.

Une chambre luxueuse et un Spa délicieux

L’hôtel Bab Africa Corinthia 5*, ouvert en septembre 2003, est situé entre le front de mer et les fortifications de la médina. Malgré ses hautes tours, il s’intègre bien dans le paysage. Chacun disposait d’une luxueuse chambre Executive. Le personnel, dont une partie est tunisienne et marocaine, et évidemment francophone, est très à l’écoute. Entre deux visites, j’ai eu la chance de tester rapidement le Spa : un délice ! Le soir, nous sommes partis en calèche dîner dans la médina où le restaurant Al-Athar avait mitonné un tajine d’agneau. Tôt le lendemain, nous sommes partis en bus pour le site de Leptis Magna. La pluie était au rendez-vous, mais qu’importe ! Dans l’amphithéâtre, je n’ai pu m’empêcher de rêver aux scènes de gladiateurs auxquelles pouvaient assister près de… 20 000 personnes !

Le lendemain, 1 000 km plus à l’Est…

Le lendemain, un vol intérieur nous a conduits à Benghazi, à 1 000 km à l’est de Tripoli, dans la région de la Cyrénaïque, d’où, après 3 heures d’autocar, nous avons rejoint Cyrène. Le vent qui soufflait en rafale ne m’a pas empêché d’être émerveillée par le site : l’agora, le Gymnasium et le temple de Pathos sont les plus impressionnants, mais que dire aussi de la multitude de tombes en contrebas de la route ! Le soir, après une journée dense, nous avons dormi à l’hôtel Tibesti 4* à Benghazi (où j’ai expérimenté la chicha à la pomme). Après une courte nuit, nous sommes revenus à Tripoli, avant de rejoindre Sabratha. Tout le site se trouve en front de mer : imaginez le mariage des bleus de la mer et du ciel et des pierres saumonées, aujourd’hui dorées par les rayons du soleil : vraiment magique !

Heureusement, nous avons trouvé le temps de faire un rapide tour de la médina de Tripoli. Les souks, les anciens caravansérails, la maison Galaamani, la mosquée de la chamelle, l’école coranique et le quartier italien, nous avons parcouru tout cela au pas de course. La ville est tranquille et la plupart des habitants parlent l’anglais et l’italien. J’ai juste eu le temps d’acheter, sans vraiment pouvoir marchander, quelques souvenirs.

Le soir, lors du dîner de gala de l’hôtel Bab Africa Corinthia, les musiciens et les danseurs m’ont invitée à danser ! Le repas fut une fois de plus délicieux bien que sans alcool, ce que certains d’entre nous ont regretté… Une fois de plus, la nuit fut courte, et notre arrivée à Paris, le lendemain, se déroula… sous la neige.

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