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Chaud et froid à Tenerife, l’île du printemps éternel

Morgane Respaud, 31 ans, est conseillère chez Voyage Conseil Var-Côte d’Azur à Toulon. Elle s’occupe du service réservation individuelle.

Je ne connaissais pas les Canaries alors, quand on m’a proposé d’aller à Tenerife, j’ai dit oui tout de suite ! J’ai embarqué quatre jours plus tard à bord d’un avion d’Air Méditerranée affrété par Plein Vent, avec 110 agents de voyages des régions Provence-Côte d’Azur et Rhône-Alpes.

Dès notre arrivée dans le sud de l’île, notre petit marathon hôtelier a commencé. Nous avons d’abord visité l’hôtel-club Paraiso (3b) à Playa Paraiso : trop froid et entouré de très hauts bâtiments. Personnellement, je n’y passerai pas mes vacances ! Il est toutefois pratique pour les familles, car les chambres sont de véritables suites (kitchenette, salon, deux chambres).

Nous avons fait une halte pour un déjeuner local autour d’une copieuse paella, puis retour aux trois cars, très design, direction l’hôtel-club Palia Don Pedro (2b). Ses bâtiments sur deux niveaux me font penser à un collège avec des classes en préfabriqué. Il est entouré de verdure et reste cependant plus convivial que le précédent et ses 16 étages. D’ailleurs, l’accueil y est très chaleureux.

Nous nous sommes rendus ensuite à Playa de las Ame-ricas, une station balnéaire à l’espagnole, très animée. Notre hôtel : l’Esmeralda Playa, un 4b. Il vaut mieux préciser côté piscine à la réservation des chambres car la mienne donnait sur une vue grillagée et un terre-plein. Dans cet établissement, l’équipe de Plein Vent nous a présenté la brochure 2004 sous une forme très originale. Avec comme guide de notre voyage à travers le monde, un fantôme écossais.

Avant de dîner, nous avons assisté à une comédie musicale, Fuego y Danza, présentant une version moderne de Carmen de Bizet, dans un bâtiment de style antique très tape-à-l’oeil. Malgré la fatigue, je n’ai pas vu le temps passer. La soirée s’est terminée au restaurant attenant avec le meilleur repas du séjour dans une ambiance très sympa.

Entre désert et végétation luxuriante

Le lendemain matin, réveil à l’aube pour un départ vers le nord de l’île. Nous quittons la côte bétonnée pour emprunter une route sinueuse mais en parfait état. Un arrêt photo nous a permis d’admirer le paysage lunaire au pied du pic du Teide, avec une impression de déjà vu pour ceux qui connaissent la Ré-union. Attention de bien se couvrir car la température est tombée de 18° à 2 °C entre notre départ et l’arrivée sur ce site. Plus on roulait et plus la végétation prenait le pas sur le désert, avec des paysages luxuriants. A Puerto de la Cruz, nous avons visité l’hôtel Miramar (3b), une petite structure agréable et un jardin verdoyant.

J’ai apprécié aussi un court moment de shopping dans cette station balnéaire fort agréable. Les prix sont très intéressants et notamment l’alcool, les appareils photo et les cigarettes. Même si les Canariens ne sont pas très accueillants. Seuls deux commerçants sur quinze boutiques visitées nous ont dit bonjour.

Avant d’y déjeuner, nous avons visité l’Internacional (3b), idéal pour un circuit en étoile. Dommage que pour ce dernier repas, le buffet ait été de qualité assez moyenne. Nous avons terminé le voyage autour de la piscine, avant de rejoindre l’aéroport. Merci à l’équipe de Plein Vent de m’avoir permis de connaître enfin une partie de cette île au printemps éternel.

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