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Un témoin du crash du Concorde conteste la version officielle

L’avion d’Air France était en feu avant d’avoir roulé sur la lamelle censées avoir déclenché l’accident, d'après un nouveau témoignage.

Un commandant de bord à la retraite a remis en cause la version officielle du crash du Concorde d’Air France en 2000.

Lors du procès en appel, hier, il a déclaré avoir vu le supersonique en feu plusieurs centaines de mètres avant l'emplacement de la lamelle censée avoir déclenché l'accident. Jean-Claude Samoyault, ancien pilote d'Air France, a expliqué qu'il était aux commandes d'un avion en attente de décollage de Roissy pour Boston le jour de l’accident, dans une position pratiquement perpendiculaire à la piste du Concorde.

En première instance, en 2010, le tribunal correctionnel de Pontoise (Val-d'Oise) avait jugé qu'un DC10 de Continental Airlines avait déclenché l'accident qui a fait 113 morts le 25 juillet 2000 à Gonesse (Val-d'Oise), en perdant une lamelle métallique sur la piste de décollage du Concorde.

Jean-Claude Samoyault est le premier d'une série de témoins oculaires cités par le principal prévenu, la compagnie américaine Continental Airlines.
 

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