Peintre de la lumière froide et de la solitude urbaine, Edward Hopper (1882-1967) débarque sur les cimaises du Grand Palais pour une grande rétrospective inédite, jusqu’au 28 janvier 2013. Certainement l’événement culturel parisien de cette fin d’année, cette exposition devrait séduire un très grand nombre d’amateurs d’art français et étrangers ainsi que de nombreux curieux séduits par des oeuvres souvent devenues icôniques. Les Noctambules ou l’intérieur d’un bar new-yorkais sous la lumière métallique des néons rappelleront la noirceur des polars US, la crise économique, ou encore la solitude d’individus perdus ou déplacés, autant de thèmes qui restent toujours d’actualité.
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