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Durablement engagé

Si le tout prochain sommet de Copenhague est le cadre de ce numéro spécial développement durable,l’événement – que d’aucuns prédisent d’ores et déjà comme un échec – n’est NULLement l’occasion pour nous de ?ripoliner? inutilement L’Écho touristique. Encore moins de faire du greenwashing éditorial. Car rappelons le, notre rédaction vous délivre, chaque semaine, un contenu […]

Si le tout prochain sommet de Copenhague est le cadre de ce numéro spécial développement durable,l’événement – que d’aucuns prédisent d’ores et déjà comme un échec – n’est NULLement l’occasion pour nous de ?ripoliner? inutilement L’Écho touristique. Encore moins de faire du greenwashing éditorial. Car rappelons le, notre rédaction vous délivre, chaque semaine, un contenu dédié au tourisme responsable, qu’il s’agisse d’initiatives privées ou institutionnelles, de produits, de destinations, d’études ou d’évolutions comportementales.

Et ce depuis août 2008, et la nouvelle formule du journal. Alors certes,« peut mieux faire », diront certains. Et ils auront raison, tant les thématiques sont nombreuses, comme vous le constaterez au fil de ces pages. Mais l’ensemble de la rédaction de L’Écho touristique a fait le choix de s’engager durablement dans une voie prospective, de faire du magazine un relayeur mais, surtout, un prescripteur de bonnes pratiques en ce domaine.

Ce numéro spécial s’en veut le manifeste. Notre industrie est à l’aube d’une mutation inéluctable. Les professionnels du secteur en ont globalement conscience, même si certains demeurent réfractaires à des pratiques jugées trop contraignantes ou inconciliables avec l’activité touristique. Pourtant, les outils se développent pour informer, accompagner et conduire au changement.

Certes, le chantier est immense, car au-delà de la lourde problématique environnementale, ce sont également les volets économiques et sociaux qu’il faut au plus vite appréhender, si ce n’est solutionner. Au plus vite, c’est-à-dire maintenant, à hauteur de ses propres moyens bien sûr. Pour ne pas être prisonnier du temps, car seul le présent est réel et peut être soumis à notre volonté d’action.

Laurence ROUSSEAU
Directrice de la rédaction

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