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BUCAREST LA DYNAMIQUE

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La capitale roumaine est à l’image du pays : dynamique et contrastée. En remontant le boulevard de l’Union, que Ceausescu voulait absolument plus large que les Champs-Élysées, on atteint le Palais du Parlement. Ce bâtiment inachevé est le deuxième plus gros édifice du monde, après le Pentagone. Il symbolise la folie d’un homme, désireux de laisser sa trace en Roumanie pour les siècles à venir. La visite du centre-ville justifie le surnom de Petit Paris qu’a eu Bucarest dans les années 30. Les rues piétonnes et pavées, où fleurissent les terrasses de café, s’animent la nuit pour devenir le lieu branché de la capitale. La population étudiante sauce Erasmus se presse dans les bars et les boîtes de nuit. Un quartier aux antipodes d’autres secteurs plus résidentiels de la ville, que les ravages du régime de Ceausescu n’ont pas épargnés.

À ne pas manquer les nombreux musées, Bucarest ne trahit pas la réputation culturelle de la Roumanie : celui du paysan roumain et ses 90 000 pièces du quotidien, le Musée du village, qui reconstitue dans un parc public certaines architectures des bâtiments typiques de la campagne, le Musée d’art national de la Roumanie, le Musée National George Enescu, qui rend hommage au célèbre compositeur, ou encore le Musée National d’Art Contemporain, installé dans l’une des ailes du Palais du Parlement.

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