Voyage en Albanie : train ou avion ? On a testé les deux
Au départ de Paris, les voyageurs ont deux options bien différentes. Prendre le train et le ferry, jusqu’à Durrës près de Tirana. Ou bien prendre l’avion à destination de la capitale albanaise. Deux scénarios que nous avons testés, pour les vivre de l’intérieur et les comparer sur différents critères : temps, budget, expérience, empreinte carbone. Embarquement immédiat.
Le temps et l’empreinte carbone
Entre le rail et les airs, c’est le jour et la nuit ! En train, comptez 48 heures chrono, en quatre étapes, en quittant Paris à 8h du matin. Après Genève et Milan en train de jour, cap sur Bari en train de nuit, puis Durrës en ferry de nuit. A noter : pas de douche à bord du train de nuit (en classe Comfort), mais un espace lavabo permet de faire une toilette de chat. En revanche, les cabines à bord du ferry de nuit comprennent une salle de bains complète avec douche.
Pour des personnes pressées, l’avion gagne le match haut la main. De Paris, le vol dure 2h15, et le passage à l’aéroport de Tirana est rapide grâce à un contrôle des bagages moderne qui dispense de vider son bagage cabine. Transavia exploite ainsi des liaisons directes d’Orly et, en juillet-août 2025, de Lyon.
Bien sûr, ces temps n’incluent pas les trajets jusqu’à la gare ou l’aéroport. Et surtout, les expériences sont tellement différentes.
En termes d’empreinte carbone, le train pèse environ 60kg (estimation), l’avion 350kg. Et côté prix ? C’est ce que nous allons maintenant comparer et décortiquer.

Mouais, mes clients ne seront absolument pas convaincus. Même en tenant compte du slow travel, ils préféreront rester plus sur place ou se déplacer à l’intérieur de l’Albanie à la rigueur. Bref, pour mon agence ce sera 200% l’avion.
c est qui cette super agence de voyage qui connait si bien le train ?