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Top Résa : fréquentation en légère hausse

La fréquentation du salon Top Résa a progressé de 3%, avec un bilan de 16 455 visiteurs, selon les organisateurs. Si les offices de tourisme étaient majoritaires parmi les exposants (30%), les agents de comptoirs et chefs d’agences représentent heureuseme


Selon les organisateurs, Top Résa a accueilli 16 455 visiteurs cette année, soit 3% de plus que l’an passé. Les visiteurs étaient principalement des vendeurs et chefs d’agences (66%), ainsi que des dirigeants d’agences de voyages (28,5%). L’origine géographique de ces visiteurs reste identique d’une année à l’autre. La moitié d’entre eux sont en effet originaires d’Ile de France. Provence Alpes Côte d’Azur est ensuite bien représentée (15,6%), devant la région Rhône-Alpes (11,4%), la Normandie et la Bretagne.

Parmi les exposants, la part des offices de tourisme est croissante. Ils représentent désormais 30% des stands, les tour-opérateurs 20%, les compagnies aériennes 15%, l’hôtellerie 15%, les nouvelles technologies 15% et les croisiéristes 5%. A l’origine, le salon était tourné vers les producteurs. Mais les secteurs se diversifient. L’hôtellerie est présente en force et nous n’avons jamais eu autant de transporteurs que cette année. Or ce sont eux qui ouvrent les destinations, se félicite Joël Gangnery, directeur général de Top Résa.

Comme chaque année, plusieurs prix ont été décernés. Celui du stand le plus créatif, le prix Denis Massien, a été attribué au groupe Teker. Tandis que le nouveau prix de la brochure d’excellence est revenu à Kuoni. Le prix Top création, décerné l’année dernière à l’agence Bleu Safran n’a pas été attribué cette année. Nous avons sélectionné 5 projets intéressants sur 15 dossiers. Mais aucun n’était économiquement viable. Nous avons donc demandé aux candidats de revoir leur copie pour l’année prochaine, explique Joël Gangnery.

Pour son édition 2006, le salon  a mis l’accent sur la formation. Pas moins de 600 agents de voyages en ont ainsi profité durant trois jours. Georges Colson, président du Snav, et Joël Gangnery, travaillent sur le plan juridique afin de rendre ces heures de formation éligibles au Droit individuel à la formation (DIF).

Interrogé sur la cherté du salon,  Joël Gangnery a précisé que les prix avait augmenté moins que l’inflation. Nous sommes plus chers que les salons parisiens car réaliser un salon à Deauville coûte sept fois plus cher. Je pense tout de même que le jeu en vaut la chandelle, car les décideurs restent trois jours sur place, alors qu’à Paris ils ne feraient qu’un simple passage.

Malgré les dispositions prises par les organisateurs pour augmenter la fréquentation le dernier jour, les allées étaient étonnamment vides samedi. Sans doute la faute au soleil et aux célèbres planches de Deauville.  

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