Retrouvez l'actualité du Tourisme pour les professionnels du secteur tourisme avec l'Echo Touristique : agences de voyages, GDS, prestataires spécialisés, voyagistes

Les kin-breakers, ces parents qui osent les vacances sans les enfants

Une nouvelle génération de parents a fait sauter le tabou et n'hésite plus à partir en voyage sans sa progéniture, selon une étude réalisée par Harris Interactive pour Voyages-sncf.com.

On les appelle les kin-breakers (kin pour famille en anglais). Ce ne sont pas des parents indignes, mais ils osent de plus en plus s'affranchir du cercle familial pour s'offrir un peu de liberté, s'occuper d'eux-mêmes, de leur conjoint, sortir de la routine.

Vive les vacances en amoureux

Plus de la moitié des parents en France sont ainsi déjà partis en vacances sans les enfants, selon l'étude réalisée par Harris Interactive pour Voyages-sncf.com. Au total, 56% des 2 000 adultes interrogés déclarent avoir franchi le pas et la moitié de ceux qui ne sont jamais partis sans enfants n'y voit pas d'inconvénient, brisant un tabou de longue date.

Les motivations principales sont l'envie de consacrer du temps à son couple ou à ses amis (46%) et le besoin de se reposer (28%). Les parents de familles monoparentales invoquent tout particulièrement le besoin de repos (45%).

Huit parents sur 10 privilégient le court séjour "en amoureux" (78%), durant un week-end ou 4 à 5 jours. Les parents d'adolescents se permettent des vacances plus longues, la durée du séjour augmentant avec l'âge des enfants.

Merci Papi-mamie

Plus de 50% des parents partent n'importe quand sans leurs enfants. Noël, moment de rassemblement familial par excellence, reste cependant l'exception, ainsi que les vacances scolaires d'été.

Lors de ces voyages entre adultes, 65% des parents confient leurs enfants aux grands-parents.

Ne pas partir sans les enfants reste cependant un choix et non une contrainte pour plus de la moitié des parents. Les vacances en famille sont des moments agréables (56%) ou sont même érigées en principe (52%).

La peur de passer pour des parents "indignes" freine cependant 5% de ceux qui ne partent jamais sans leur progéniture.

Laisser votre commentaire (qui sera publié après moderation)

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Dans la même rubrique