Catégorie : Tour Opérateurs
> Présentation de la région> Les champions primés> Les entreprises de la région Les secteurs de la région :> L’industrie avec L’Usine Nouvelle, Industrie et Technologies, Emballages Magazine> La grande consommation avec LSA> L’assurance avec l’Argus de l’assurance> Le tourisme avec l’Echo touristique> La restauration avec Néorestauration GRAND PRIX Club Langues et Civilisations Club Langues […]
GRAND PRIX | ||
Spécialiste des séjours linguistiques, CLC a multiplié les acquisitions pour élargir sa gamme de produits. Perdu dans le Rouergue à 600mètres d’altitude, le TO Club Langues et Civilisations (CLC) n’a jamais quitté ses terres de l’Aveyron pour aller faire fortune à la capitale. C’est depuis son plateau de production à Rodez que 80employés, sur un effectif de 169, préparent des séjours linguistiques pour juniors et adolescents, des stages linguistiques pour étudiants ou des séjours thématiques et culturels pour adultes. Soit 11brochures. CLC a conservé l’esprit pionnier des voyages scolaires en bus à l’étranger, lancés en 1973, pour proposer des produits peu onéreux et afficher l’un des meilleurs rapports qualité-prix du marché. Avec 100000 clients annuels, le voyagiste décroche le tableau d’honneur. Le rachat en 1993 de son concurrent Nacel à Tours lui a toutefois permis d’étendre son offre à des produits plus haut de gamme. ?Les déplacements se font alors en avion ou en train pour aller plus loin, et rendent le voyage plus confortable?, commente Jean Burdin, le PDG (notre photo). La filiale, qui traite en majorité une clientèle parisienne, a choisi d’installer son siège à Paris et possède une agence à Lyon. Le concept de l’American Village |
||
Et aussi…
Il y a quinze ans, lorsque Gérard Pons (notre photo) a ouvert son agence de voyages en banlieue bordelaise, son premier réflexe fut de jouer la carte de la différence. Pour ne pas s’attaquer à ?une clientèle déjà draguée, explique-t-il, il fallait appliquer une politique de niche?. Ce sera le voyage pour personnes dialysées, une idée soufflée par un ami. Pour réussir sur ce marché inexploité en France, l’entrepreneur s’est renseigné auprès de malades, de médecins néphrologues, de centres de dialyse. Il a demandé aux hôteliers plus de souplesse pour les délais de rétrocession des allotements et bataillé pour faire établir des contrats d’assurance spéciaux. ?Nous ne voulions pas créer un produit hospitalier mais, bien au contraire, adapter des forfaits classiques à la pathologie du client, insiste Gérard Pons. Nous nous chargeons de la recherche du centre de dialyse par rapport à la situation géographique de son hôtel, mais nous ne sommes pas médecin ou infirmier?. La ténacité a porté ses fruits. Aujourd’hui, Gérard Pons Voyages possède une activité traditionnelle de distributeur (65 % du chiffre d’affaires et cinq vendeurs de voyages). Mais l’agence fait aussi voyager 500 clients dialysés par an. Membre du réseau Selectour, elle bénéficie dans sa démarche de l’appui de plusieurs fournisseurs, comme Fram et Costa. ?La croisière est le produit le mieux adapté, explique-t-il. Tout se fait sur place à bord du bateau. On ne peut pas changer tous les jours un dialysé de centre.? Une représentation à Paris est à l’étude |
||
Agences de voyages | Scalia (Aquitaine) |
Tour opérateurs | Club Langues et Civilisations (M-P) |