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En arrivant en Islande, j’ai atterri sur la Lune

Sophie Pillard est agent de comptoir à l’agence Voyages Gaillard/Selectour de Hyères (Yvelines). Son souhait : repartir en Islande avec son mari…

En partant pour l’éductour organisé par Scanditours, Icelandair et Avis au début du mois d’avril, je n’avais aucune image de l’Islande en tête. Ce que j’y ai découvert m’a conquise et totalement dépaysée. A peine arrivée, la traversée des kilomètres de champs de lave, recouverts de mousse, m’a tout de suite mise dans l’ambiance. A voir cette succession de bosses et d’arêtes, on a l’impression d’être sur la Lune, peut-être même sur Mars ! Et que dire de la petite halte au Lagon Bleu, délicieuse, qui nous a permis de nous délasser dès l’arrivée. Quelle sensation incroyable de se baigner sous la pluie battante, dans ces eaux bleues phosphorescentes à 38 °C, de se couvrir le corps de silice blanche réputée pour la peau et ensuite d’aller prendre une douche sous la cascade ! Autant le dire, j’ai été moins convaincue par la capitale Reykjavik, que j’ai trouvé froide, malgré des hôtels très agréables. J’ai particulièrement apprécié le Nordica, avec son mobilier design très scandinave, en bois clair.

Un jeu de piste effectué en convoi de 4×4

Les choses sérieuses ont commencé le lendemain avec la constitution de plusieurs équipes. Elles ont permis au groupe de faire plus rapidement connaissance puisqu’à partir de ce moment-là, le voyage a été organisé à la manière d’un jeu de piste effectué en 4×4. C’était vraiment drôle de voir la file indienne des huit véhicules quitter la capitale tout phares allumés et reliés par radio. On aurait dit un convoi de l’ONU !

La course en brouette, un sport islandais !

En route vers la péninsule du Snaefellsnes, nous avons d’abord fait une halte dans une ferme traditionnelle. L’occasion de lier connaissance avec les Islandais, grâce à trois épreuves olympiques spécialement organisées pour nous : la course en brouette, le dessin d’une ferme traditionnelle et la construction de véhicules à voile à partir d’un véritable bric-à-brac ! Plus au nord, impossible d’échapper à la dégustation d’un plat typique : le requin faisandé. Je n’ai pas du tout aimé et je conseille aux estomacs sensibles de s’abstenir !

Nous avons ensuite embarqué pour une croisière le long des îles de la côte nord de la péninsule. Une expérience unique qui m’a permis de profiter d’un extraordinaire coucher de soleil et d’apprécier les bienfaits d’une pêche miraculeuse : coquilles Saint-Jacques et oursins à volonté, avec un bon verre de vin blanc ! Dommage que la balade ait été un peu longue (près de 4 heures !), après une journée déjà bien remplie. C’est donc usés que nous avons rallié le hameau de Budir. J’ai adoré son hôtel très confortable, posé au bord de la mer, avec pour décor un magnifique panorama de montagnes sombres blanchies par les glaciers et percées de cascades. La vue au petit matin était à couper le souffle. Mais ce n’était qu’un en-cas !

L’ascension du Snaefells en motoneige s’est révélée grandiose, même si j’ai cassé une courroie de mon engin. Le panorama du sommet de ce volcan coiffé par un glacier est irréel, et c’est là que j’ai compris pourquoi on dit de l’Islande qu’elle est une terre de feu et de glace ! Une dernière promenade au bord des falaises de basalte, noires comme de l’encre de Chine, a clos superbement le voyage. Je n’attends qu’une chose : revenir en Islande et profiter de ses beautés naturelles en amoureux, avec mon mari !

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