3 000 numéros de L’Écho touristique, soit :
– 3 000 autres en attente : Nous et nos successeurs se chargerons de les réaliser, mais c’est toujours votre actualité qui en fera la Une.
– 3 000 signes (espaces non compris), soit 2 feuillets en jargon journalistique. Il en faudra quelque 240 000 pour réaliser le présent magazine.
– 3 000 polémiques, enjeux, succès, scandales, événements, chassés par d’autres polémiques, enjeux, succès, scandales et événements.
– 3 000 calories brûlées en sillonnant les allées du salon IFTM-Top Resa chaque année. Mente sana in corpo sano !
– 3 000 inventeurs du tourisme, évidemment tous immortels et inoubliables.
– 3 000 heures d’attentes dans les aéroports avant de partir en éductour, en congrès, en voyages de presse.
– 3 000 ans d’histoire qui font la richesse de grandes destinations touristiques, berceau de civilisations qu’aiment à visiter les Français.
– 3 000 – au moins – questionnements sur l’angle d’attaque de nos papiers et de débats internes.
– 3 000 « Une » : typographique, événementielle, volcanique, thématique, illustrative, portraiturée, conceptualisée, paysagée, rose, verte, et bien d’autres couleurs encore à venir…
– 3 000 voyages, avec l’impression que la Terre reste une belle inconnue et que les hommes qui l’habitent toujours des êtres bien curieux…
– 3 000 tonnes de papier utilisées, mais c’est vraiment approximatif. Vive le recyclage !
– 3 000 cheveux arrachés par mois à cause des retards, des pannes, des repiquages, des flashs spéciaux, enfin bref, tous les imprévus.
– 3 000 émotions, colères, joies ou tristesse en relatant les différents événements internationaux.
– 3 000 fois le sentiment qu’on fait un beau métier qui consiste à parler de vos beaux métiers.
– 3 000 coupes de champagne, mais heureusement pas pour le même foie.
– 3 000 stylos et calepins usés à prendre des notes avec le téléphone coincé dans le cou à s’en faire une scoliose foudroyante.
– 3 000 fois l’envie de faire mieux chaque semaine.
Mais un seul numéro 3000, qui rend hommage à nos seuls vrais partenaires : vous, nos lecteurs.