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Agences et TO : comment enrayer les difficultés de recrutement

La crise sanitaire a accentué la pénurie de candidats dans les agences de voyages et chez les tour-opérateurs. La profession n’attire plus. Les pros nous ont livré leur constat et leurs solutions pour lutter contre cette désaffection.

Après deux ans de pandémie, les métiers du tourisme souffrent de pénurie de personnel. Entre les salariés qui ont quitté le secteur et les candidats qui rechignent à postuler aux récentes offres d’emploi, les professionnels ont du mal à attirer des nouvelles recrues. Pourtant la demande est forte, en relation avec la reprise de l’activité en agences, même si elle n’a pas retrouvé le même niveau qu’en 2019.

À titre indicatif, fin avril, Pôle Emploi affichait sur son site près de 800 offres d’emplois de conseillers en voyages, 300 offres d’accompagnateurs, 3 200 offres d’animateurs…

« Le retour général de nos adhérents, qu’ils soient distributeurs ou producteurs, est le même : ils ont des difficultés à trouver des candidats, par manque d’appétence du secteur », concède Valérie Boned, la secrétaire générale du syndicat Les Entreprises du Voyage.

Selon les professionnels interviewés, les raisons de ce « trou d’air » sont multiples. Chez les distributeurs, le constat est dur.

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1 commentaire
  1. Anonyme dit

    Et ça vous étonne ?
    J’ai travaillé 17 ans en agence de Voyages (et j’ai aimé ce métier riche et passionnant): un métier extrêmement technique, qui exige un niveau de connaissance et d’information énorme, engendre des responsabilités toujours plus grandes, avec des éductours/formation de plus en plus rares, de plus en plus denses et pour lesquels on devait prendre sur nos vacances, et rendre un rapport à la fin pour nos collègues …

    Tout ça pour un salaire qui ne décolle pas du smic

    Je suis désormais commerciale, je suis encouragée par des primes sur objectifs atteignables, et sans expérience dans mon nouveau secteur, j’ai transformé mon brut en net.

    Posez vous les bonnes questions: qu’avez vous fait pour garder vos (bons) salariés ?

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