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Tourisme dans les zones naturelles fragiles : bonne ou mauvaise idée ?

Qui n’a pas rêvé de découvrir l’incroyable biodiversité des îles Galapagos, ou d’explorer les côtes totalement vierges de l’Antarctique ? Ces voyages de rêve, désormais accessibles pour les plus fortunés, ont-ils du sens, à l’heure où l’industrie du tourisme interroge son modèle ?

À une époque où le moindre cm² de la planète semble connu et cartographié, il existe des sanctuaires naturels. Des espaces où l’être humain n’est que de passage, au gré des saisons, et des migrations… s’il n’en est pas totalement absent. Des sites souvent éloignés, et donc difficilement accessibles. Mais pas totalement abandonnés pour autant.

Depuis une quinzaine d’années, le tourisme se développe dans ces territoires qui s’ouvrent aux plus aisés des voyageurs, ceux qui sont avides de marcher sur les traces des grands explorateurs.

Mais rêver de naviguer dans les eaux glacées de l’Antarctique, d’explorer les profondeurs d’une jungle asiatique ou de barboter avec la faune sous-marine des îles Galapagos, n’est-ce pas totalement dépassé ?

« C’est une question très pointue, reconnaît Anne-Lise Olivier, coordinatrice de l’association Acteurs du tourisme durable (ATD). Tout est question de dosage, de bien mesurer quels sont les bénéfices et les inconvénients de l’activité touristique sur un territoire. Ce qui est sûr, c’est qu’il paraît impensable, de nos jours, de ne pas associer les communautés locales lorsqu’on décide d’investir une destination de ce type. Parce que le tourisme a aussi des impacts positifs dans certains territoires. »

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