La direction de Fram ne fait plus mystère du nombre de suppressions de postes qu’elle envisage dans le cadre du plan social à venir au sein du groupe. Par la voix de son service communication, elle a confirmé « les chiffres qui circulent dans la presse » depuis juillet, soit autour de 67 à 70 postes menacés sur les 600 salariés de Fram France. Une quarantaine de ces suppressions concerne Voyages Fram, la filiale TO, « au siège à Toulouse, mais aussi dans le reste de la France, voire à l’étranger du moment qu’il s’agit de salariés de Fram France ». Le reste, soit une trentaine d’autres postes, porte sur les agences. C’est sur cette base de travail qu’ont lieu actuellement les discussions à huis clos avec les représentants des salariés, qui possèdent depuis juillet la liste des postes menacés.