Nouvelle-Zélande : un visa électronique obligatoire à partir du 1er octobre
La destination franchit met en place un visa électronique pour les voyageurs venus de l’Union Européenne, de Suisse et du Royaume-Uni.
28 euros : c’est la somme qu’il faudrait désormais débourser pour voyager en Nouvelle-Zélande. En effet, à partir du 1er octobre 2019, les voyageurs français désireux de découvrir les somptueux paysages de la destination devront obtenir une autorisation électronique de voyage (AVE) en ligne et s’acquitter d’une taxe touristique.
En demandant leur visa en ligne (12 dollars néo-zélandais), les Français paieront également une taxe touristique (35 dollars NZ), à laquelle il faudra rajouter un euro de frais bancaires. Un montant total de 28 euros, qui peut être diminuer d’1,70 euro en suivant la procédure via l’application mobile du gouvernement néo-zélandais.
Lutter contre le tourisme de masse
L’AVE sera valable pour une durée de deux ans, permettant des entrées illimitées dans le pays, pour des séjours de 90 jours maximum. Comme le précise le ministère des Affaires étrangères, « cette disposition inclut également les visiteurs en transit dans les aéroports néozélandais ou les passagers des bateaux de croisière ».
Jusqu’à présent, aucun visa n’était pas nécessaire pour les séjours inférieurs à trois mois en Nouvelle-Zélande, sauf cas particuliers (étudiants, professeurs, journalistes, …). Avec cette taxe, le pays entend contenir l’expansion de son tourisme et utiliser les revenus générés par la taxe pour financer une partie de sa transition énergétique.
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