IATA

Sous pression, le transport aérien a entamé sa décarbonation. Mais la route sera très longue pour qu'il respecte ses engagements.

S’il n’impacte pas encore la demande, le prix des billets grimpe, et la tendance devrait durer. Au point de remettre en question la démocratisation de ce mode de transport ?

Les compagnies aériennes commencent à relever la tête, même si de nombreux nuages s'amoncellent au-dessus de leurs têtes.

L’urgence a sonné pour le secteur aérien, selon un groupe de réflexion qui réclament des politiques publiques "rapides, agressives et soutenues".

GDS, NDC, cent fois sur le métier remettez votre ouvrage ! Fabrice Dariot, chef de la Bourse des vols, n’y va pas par quatre chemins, affirmant sans faillir que les GDS auront le même sort que la défunte Kodak.

La Commission européenne a annoncé qu’aucune réforme n’était envisagée afin de limiter les « vols à vide », conséquence du Covid-19.

Selon IATA la hausse du trafic aérien en octobre est menacée par le variant Omicron. L'association ne veut pas voir naître de nouvelles restrictions de voyage.

La hausse des prix du pétrole est "un indicateur positif" pour les compagnies mais elle devra être répercutée dans les prix des billets, selon l'Iata.

Les compagnies aériennes resteront fortement dans le rouge en 2022. Ces prévisions sont plus pessimistes que celles diffusées en avril.

Les compagnies aériennes du monde entier se sont engagées lundi à atteindre "zéro émission nette de CO2" d'ici à 2050