Retrouvez l'actualité du Tourisme pour les professionnels du secteur tourisme avec l'Echo Touristique : agences de voyages, GDS, prestataires spécialisés, voyagistes

Reza Benyahia, un jeune homme doué

À 32 ans, il vient de rejoindre l’équipe commerciale de Beachcomber Tours en tant que responsable Grands Comptes.

Itinéraire d’un garçon pressé… et doué. Depuis sa sortie, à tout juste 20 ans, de l’Unité d’enseignement du tourisme (UET), créée par Jacques Maillot, Reza Benyahia a tracé un parcours sans faute. Dès 1998, il pousse « une première belle porte », celle de Sun Vacances (devenu depuis Solea), et participe, comme délégué commercial, au lancement du spécialiste de l’océan Indien. Un beau challenge pour un jeune homme qui a déjà le goût des défis et la passion des voyages. L’année suivante, c’est au service de l’hôtellerie et du groupe Accor qu’il met son enthousiasme avant d’intégrer, en 2003, Austral Lagons, toujours en tant que délégué commercial Île-de-France. Il participe à l’envolée du TO, racheté par Jet tours puis Thomas Cook. Six ans de terrain à la rencontre des agences pour défendre, avec talent, les couleurs du spécialiste du sur-mesure haut de gamme. Arrivé le 6 avril dernier chez Beachcomber Tours, Reza Benyahia reste en destination (l’océan Indien) et en territoire (celui du service et du cousu main) connus, mais prend du galon en endossant le titre de responsable Grands Comptes. Ce poste nouvellement créé « va permettre d’établir des stratégies très personnalisées avec des partenaires importants pour Beachcomber Tours ». Autant dire bichonner les agences VIP du voyagiste, lequel s’est mis depuis 6 mois dans une dynamique de reconquête de parts de marché. Au sein de l’équipe commerciale, animée par Gaël Le Faveur, Reza Benyahia est la dernière pièce du dispositif, remonté à bloc pour « valoriser » son savoir-faire « au service du développement des ventes et des partenariats d’une marque porteuse de rêve ». Un challenge de plus, mais c’est son carburant, lui qui déteste la routine et place la découverte de l’autre et du monde dans ses priorités. Avec un faible pour l’Amérique du Sud. Deux fois par an, c’est à Rio et au Brésil, que Reza va prendre sa dose de bonne humeur, et d’humilité aussi : « On se sent si petit dans un si grand pays ! »

Laisser votre commentaire (qui sera publié après moderation)

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Dans la même rubrique