Patrick Bruel ouvre un hôtel à L’Isle-sur-la-Sorgue
En mai prochain, le chanteur et comédien inaugure L’Isle de Leos MGallery, un établissement de 49 chambres à L’Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse).
« J’ai souhaité créer un hôtel de charme comme une grande maison d’hôtes d’exception qui accueille, écoute et prend soin de chaque client comme un ami », indique Patrick Bruel.
Un spa, un restaurant, une piscine et même une galerie d’art
Au cœur de la « Venise contadine », l’établissement compte 49 chambres dont 11 suites et junior suites sur trois étages, avec vue sur les eaux de la Sorgue. Opérant sous l’enseigne MGallery du groupe Accor, l’Isle de Leos comprendra également un bar à cocktails, un restaurant, une cave de dégustation. Sans oublier un spa, une piscine extérieure, des salles de séminaires et meetings.
La décoration a été confiée à l’architecte Jean-Philippe Nuel. Celui-ci veut célébrer la Provence et L’Isle sur la Sorgue, dans le choix des matériaux comme des objets chinés chez les antiquaires de la ville.
Si Patrick investit dans la région, ce n’est pas le fait du hasard. Amoureux de la Provence, le chanteur de 65 ans possède depuis de longues années une résidence secondaire, le Domaine de Leos, à l’Isle-sur-la-Sorgue. Ainsi L’Isle de Leos MGallery proposera à ses clients « des expériences uniques » en lien avec la propriété de l’artiste.
Des déjeuners champêtres à l’ascension du Mont Ventoux à vélo
Des déjeuners champêtres pourront être proposés au cœur de Domaine de Leos. D’autres expériences comme la cueillette avec le chef suivi d’un cours de cuisine, la découverte des antiquaires de la ville, la visite de la dernière manufacture lainière de France, l’ascension du Mont Ventoux à vélo, ou encore la découverte du Luberon en avion pourront être proposés.
Le boutique-hôtel 5* compte jouer « les ambassadeurs de l’art de vivre provençal ». « C’est un lieu vivant et ouvert, qui fait découvrir et partager l’art de vivre de L’Isle-sur-la-Sorgue et permette à ses hôtes de vivre des expériences personnalisées sources de mieux-être » s’enthousiasme Patrick Bruel.
