Jeux Olympiques d’hiver en Auvergne-Rhône-Alpes, cap sur 2030
Surfant sur le succès des championnats du monde de ski de 2023 et des JO de Paris 2024, les autorités touristiques et sportives d’Auvergne-Rhône-Alpes se mettent en ordre de marche stratégique pour l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de 2030 dans les Alpes françaises.
« Les JO de Sotchi en 2014, c’est tout ce que l’on ne va pas faire en 2030 », lance Marie Martinod, skieuse freestyle médaillée à Sotchi, puis à Pyeongchang en 2018, et désormais élue locale en Savoie, à l’ensemble des professionnels du tourisme de la région Auvergne-Rhône-Alpes (Aura).
Tenus à Lyon en octobre 2024, les Sommets du tourisme d’Aura Tourisme ont été l’occasion, alors que l’ex-Premier ministre isérois Michel Barnier venait de valider le soutien de l’État (lire ci-après), d’une grande mise en marche stratégique pour l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver 2030, dans les Alpes françaises.
Études d’impact et exemples à suivre
Dans la foulée du succès opérationnel et populaire des JOP de Paris 2024, l’ambiance est plutôt à l’optimisme dans les rangs des professionnels du tourisme de la seconde région touristique de France. D’autant que les projections économiques sont prometteuses. D’après le cabinet d’études Asterès, l’événement pourrait générer 48 000 emplois, 3,6 milliards d’euros de valeur ajoutée (soit environ 0,15% du PIB sur 6 ans) et 1,6 milliard d’euros de recette fiscales et sociales.
Pour lire l’ensemble de cet article, veuillez vous identifier avec votre compte si vous avez déjà un abonnement à L’Echo Touristique OU abonnez-vous
