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African Safari Club repart à la chasse aux Français

Le spécialiste du Kenya proposera l’an prochain de nouvelles fréquences aériennes depuis Paris et Lyon.

Après une période difficile et un écroulement de son activité française en 2002-2003, les affaires d’African Safari Club reprennent doucement dans l’Hexagone. Selon Eric Landry, nouveau directeur France du voyagiste suisse spécialiste du Kenya, l’activité a fait un bond de 50 % en septembre et octobre 2004 par rapport à 2003. Le pays a multiplié les efforts de communication en France depuis quelques mois, et nul doute que le TO, au-delà des investissements qu’il réalise lui même, en profite. Seule ombre au tableau : la rareté des vols au départ des aéroports français. African Safari Club ne programme que deux vols hebdomadaires depuis Bâle-Mulhouse effectués en Airbus A310 par sa propre compagnie African Safari Airways.

Depuis le dépôt de bilan du transporteur kenyan East African cet été, aucun vol régulier ne relie Paris à Mombasa. D’où l’idée de tester ponctuellement deux fréquences au départ de Paris et Lyon en février et avril 2005. Nous voulons profiter des vacances scolaires. Si les vols se remplissent bien, nous les proposerons tous les 15 jours de juillet à octobre, puis de décembre à mars, explique Eric Landry.

Pour accompagner ce lancement, le TO proposera un forfait de 10 jours à Mombasa (dont 3 jours de safari) à partir de 950 E. Un tarif attractif qu’ASC peut proposer grâce à une production intégrée. Outre sa compagnie aérienne, le voyagiste est propriétaire d’une dizaine d’hôtels sur la côte, de plusieurs camps et lodges dans les différents parcs nationaux du Kenya, de cinq avions bimoteurs… sans oublier le paquebot Royal Star, qui croise dans l’océan Indien.

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