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Smartbox lance des coffrets virtuels

Denis Wathier, le directeur général de Smartbox, annonce un chiffre d’affaires de 400 millions d’euros dont 140 millions en France sur 2011/2012

Mon entreprise ne connait pas la crise. C’est le message de Denis Wathier, directeur général de Smartbox. A l’occasion du lancement d’une offre de coffrets virtuels et d’un site de ventes-privées, il a rappelé que le marché des coffrets cadeaux restait "dynamique" bien que "très compétitif". "Nous faisons 7% de croissance avec Smartbox cette année en France, 20% en Italie et 7% en Espagne, malgré les difficultés économiques", rapporte Denis Wathier à l’AFP.

Pour continuer cette croissance, l’entreprise mise notamment sur ses E-Box, des coffrets cadeaux dématérialisés, vendus 5 euros moins cher que les coffrets classiques. Le digital et le e commerrce devraient ainsi représenter" 40% des ventes du groupe à horizon 5 ans", selon un communiqué de presse.

Des équipes réduites à 240 personnes

Sur l’exercice 2011/2012 clos fin avril, le chiffre d’affaires atteindrait 140 millions en France pour 1,8 million de coffrets vendus et 400 millions d’euros dans le monde, pour 4 millions de coffrets. La concurrence de Wonderbox et des échecs sur les marchés étrangers (Canada, Japon, Australie) ont toutefois impacté les résultats de l’entreprise ces deux dernière années, mais la rentabilité ne serait pas compromise. "On ne communique pas nos résultats mais c’est une activité très rentable. On va améliorer nos résultats cette année, comme l’an dernier", explique Denis Wathier.

En avril dernier, un plan social a été mis en place, accompagné du déploiement d’une nouvelle stratégie. Six mois plus tard, sur 400 employés en France, seuls 240 sont restés. "Nous avons mis plus de monde à Dublin, sur les fonctions supports et head quarter avec la finance et l’informatique. Certains sont allés à Dublin. On a aussi embauché en Irlande. On recherchait des profils IT, qu’on a trouvé plus facilement là-bas", a expliqué Denis Wathier.

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