Pourquoi le Club Med soutient la confédération
Le Club Med accompagne le projet de confédération des institutions du tourisme porté par le Seto, tout en devenant membre affilié du Snav. C'est le symbole d'une double implication qu'il explique.
Sylvain Rabuel, directeur général France, Benelux, Suisse et nouveaux marchés Europe-Afrique du Club, s'implique personnellement dans le projet de confération des institutions du tourisme, porté et relancé en début de semaine par le Seto, indique-t-il.
Alors que le Club Med vient de rejoindre le Snav comme membre affilié, le groupe a bien l'intention, en tant que marque emblématique et entreprise leader du secteur, d'aider à l'émergence de cette instance indispensable "pour fédérer les énergies".
Encourager la dynamique
"Il faut mieux représenter notre industrie, très morcelée, la valoriser, la défendre", martèle Sylvain Rabuel. "Et le Club de par sa position se sent une responsabilité dans cette construction. On veut encourager le rassemblement, le faciliter".
L'adhésion au Snav, comme membre affilié, s'est faite dans cet état d'esprit alors que le Club Med est déjà membre du Seto.
"Jean-Pierre Mas, le président du Snav, nous a proposé ce statut un peu particulier d'affilié qui nous va bien. C'est symbolique et en même temps très impliquant puisque nous allons participer aux réflexions, échanges, commissions. Il y a un an, avant le changement de présidence, nous n'aurions pas pu envisager ce ralliement ni cette coopération constructive entre Snav et Seto. Notre double appartenance aux deux institutions se veut aujourd'hui une pierre à la nouvelle dynamique qu'il faut engager. C'est le bon moment à tous points de vue. Il y a les hommes et le contexte, qui impose que notre profession se mobilise. Le tourisme est un immense actif qu'il faut valoriser et défendre face aux défis à venir".
"La France est et restera le pays du Club", insiste encore Sylvain Rabuel. "On veut y être actifs à tous points de vue, institutionnel comme commercial".
