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APST : les cotisations 2016 en baisse pour 2 adhérents sur 3

Lors du congrès Manor qui s’est tenu du 9 au 11 novembre à Madrid, le président de l’APST Raoul Nabet a annoncé une baisse des cotisations pour 2016 ainsi qu'un nouveau mode de calcul intégrant toutes les activités des adhérents et non plus seulement l'activité principale.

Raoul Nabet, président de l’APST l’avait promis début septembre : il annoncerait au plus tard à la mi-novembre les nouvelles modalités de calcul des cotisations suite à l'application du nouveau décret sur la garantie financière. Si les détails seront dévoilés le 16 novembre en conseil d’administration, il en a présenté les grandes lignes lors des Journées des dirigeants de Manor qui se sont déroulées du 9 au 11 novembre à Madrid.

Le calcul du risque intègre toutes les activités

"Nous allons proposer en conseil d'administration un nouveau calcul des cotisations basé sur le risque généré par chaque adhérent", a-t-il déclaré.

Auparavant, l’APST appliquait trois taux selon l’activité principale de l’adhérent : distribution (0,7%), production (0,8%) et activité groupes (0,9%). En 2016, elle travaillera toujours à partir de la déclaration de volume d'affaires mais avec davantage d'individualisation, chaque activité (production, revente, transport) entrant dans le calcul du risque en fonction de son poids dans le volume d'affaires global de chacun. Ainsi, une agence principalement distributrice qui fait aussi de la production sera taxée différement.

De 2100 à 1900 euros par an

"Nous rabaissons le seuil d’accès pour deux adhérents sur trois", a par ailleurs précisé Raoul Nabet. Pour ceux-là, les cotisations devraient passer à 1900 euros par an contre 2100 euros en 2015. L’enveloppe globale des cotisations, elle, ne change pas.

Interrogé sur Fram, Raoul Nabet a assuré que même en cas de disparition, l’APST ferait face. "Mais cela fait réfléchir, a-t-il ajouté, Pourquoi ne pas faire participer financièrement le client à la garantie ?".

Quant à la transformation de l’association en mutuelle, évoquée lors de la 50e Assemblée générale de l’APST en avril dernier, le sujet est "reporté à plus tard, Bercy ne souhaitant pas l’étudier tout de suite".

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